Bonjour Benjamin,
Comme d’habitude, c’est toujours très intéressant de vous lire.
Hormis les questions chiffrables (la formation), l’information sur les risques liés au métier me semble plus difficile à cerner. Le besoin d’information varie aussi selon les cultures. Qui se considère bien informé avec tel niveau d’information ici, se sentira sous-informé là, avec le même niveau d’information.
J’ai le sentiment que cette variable n’est pas prise en compte et d’ailleurs c’est difficilement quantifiable.
Pour autant, je partage l’idée de candice : nous avons une tendance à accentuer le négatif tant dans la perception que nous avons de notre environnement de travail qu’en ce qui concerne notre rapport à nous même.
Je pense que cela est lié, entre autres choses, à notre conception de l’éducation par l’échec, à cette notation scolaire obsolète, peu encourageante, culpabilisante et à ce curieux « peut mieux faire » qui par son flou artistique ne signifie pas grand chose et surtout n’implique aucune méthode pour faire mieux …